Sanctuaires et réussites :
Parce que chaque animal compte :
L’objectif principale de Free Life est de venir en aide au maximum d’animaux dans le besoin. Pendant de nombreuses années, du temps de Chapter Animals, notre association est venue en aide à de nombreux animaux de compagnie. Aujourd’hui, ils vivent dans des foyers sûrs. Mais qu’en est-il des animaux sauvages, non domestiques ? Leur placement est souvent bien plus compliqué !
Le nombre d’individus dans le besoin est colossale. Il ne se passe pas une seule semaine sans que nous ne recevions des signalements, que ce soit en France ou à l’étranger, d’un animal dans le besoin. Et même avec la meilleure volonté du monde, il est souvent compliqué de pouvoir agir de partout. Nous essayons alors d’agir par ordre de priorité. Est-ce que ce sont des animaux en réelle souffrance ? Ce n’est pas parce qu’ils sont captifs, que ces mêmes animaux sont forcément maltraités. Proviennent-ils de trafic ? Sommes-nous appelé par les autorités compétentes, un propriétaire ou un vétérinaire ? Pouvons-nous négocier avec le propriétaire ? Pouvons-nous agir juridiquement ? Pouvons-nous le replacer ? Si oui, où ? Et le propriétaire peut-il accepter de nous le céder, en s’engageant à ne pas en reprendre ?
Afin de combler à tous ces besoins, Free Life s’est, au fil des années, construit un solide réseau de partenaires. En France, mais aussi en Europe ou dans le reste du monde, nous essayons d’agir avec les acteurs de terrain. Ainsi, le refuge Stichting Leeuws a vu arriver quatre fauves dont nous avions la charge. La Fondation Mona, elle, un macaque. Tandis que le sanctuaire d’Animanatura se tient prêt à recevoir différentes espèces au besoin. Ou encore SOS Reptiles, si jamais vous avons la charge de reptiles un jour. Malgré tout, cela ne suffit pas.
L’objectif principale de Free Life est de venir en aide au maximum d’animaux dans le besoin. Pendant de nombreuses années, du temps de Chapter Animals, notre association est venue en aide à de nombreux animaux de compagnie. Aujourd’hui, ils vivent dans des foyers sûrs. Mais qu’en est-il des animaux sauvages, non domestiques ? Leur placement est souvent bien plus compliqué !
Le nombre d’individus dans le besoin est colossale. Il ne se passe pas une seule semaine sans que nous ne recevions des signalements, que ce soit en France ou à l’étranger, d’un animal dans le besoin. Et même avec la meilleure volonté du monde, il est souvent compliqué de pouvoir agir de partout. Nous essayons alors d’agir par ordre de priorité. Est-ce que ce sont des animaux en réelle souffrance ? Ce n’est pas parce qu’ils sont captifs, que ces mêmes animaux sont forcément maltraités. Proviennent-ils de trafic ? Sommes-nous appelé par les autorités compétentes, un propriétaire ou un vétérinaire ? Pouvons-nous négocier avec le propriétaire ? Pouvons-nous agir juridiquement ? Pouvons-nous le replacer ? Si oui, où ? Et le propriétaire peut-il accepter de nous le céder, en s’engageant à ne pas en reprendre ?
Afin de combler à tous ces besoins, Free Life s’est, au fil des années, construit un solide réseau de partenaires. En France, mais aussi en Europe ou dans le reste du monde, nous essayons d’agir avec les acteurs de terrain. Ainsi, le refuge Stichting Leeuws a vu arriver quatre fauves dont nous avions la charge. La Fondation Mona, elle, un macaque. Tandis que le sanctuaire d’Animanatura se tient prêt à recevoir différentes espèces au besoin. Ou encore SOS Reptiles, si jamais vous avons la charge de reptiles un jour. Malgré tout, cela ne suffit pas.
Il est important que de nouvelles structures puissent voir le jour. D’ici quelques années, en France, il faudra replacer une quantité phénoménale d’animaux – puisque la loi interdira la présence d’animaux sauvages dans les cirques itinérants d’ici 2028 – et éviter que les mêmes tragédies qu’avec les éléphantes se produisent : Dumba décédée, après avoir été placé dans un refuge circassien en Allemagne ; Rosa et Bambi, confiées à un dresseur en Hongrie et replacées dans un zoo peu scrupuleux… en Inde ; Mina décédée d’un cancer généralisé mais encore indiquée comme en bonne santé par les services vétérinaires plusieurs mois après sa mort ; Nelly et Brigitte, placées en retraite mais qui continuent de réaliser des performances ou encore récemment l’éléphante Baby, offerte à un dresseur animalier français, l’ayant lui-même offert à un tunisien avant d’en faire don à un zoo-mouroir.
Et sans parler des animaux de cirque, il faudra toujours replacer des animaux issus de saisies et de trafics – cas de maltraitance, saisie à la douane, défaut de certificat de capacité/d’ouverture. Il faudra également replacer les animaux que les propriétaires souhaitent replacer, comme ceux des zoos qui cessent leur activité. Ou encore, le replacement en urgence des animaux dans les pays en guerre ou des primates sortant de laboratoire. C’est pourquoi, le nombre est énorme, mais les places limitées. Il est donc primordial que certains capacitaires commencent à se reconvertir dès maintenant. En Inde, par exemple, d’anciens montreurs d’ours ou de cornacs d’éléphants se sont reconverti. Ils gèrent désormais des sanctuaires. En plus de pouvoir les reconvertir vers le bien-être animal, cela leur permet de garder un lien unique avec les animaux qu’ils ont si longtemps exploités et de les découvrir sous un nouveau jour. Toujours en Inde, mais également sur le continent africain, il n’est pas rare aussi de faire appel à des anciens braconniers pour préserver ces sanctuaires. Eux-mêmes connaissant les ficelles du métier, ils évitent ainsi un grand nombre de cas de braconnage. En France, nous pourrions donc collaborer avec d’anciens chasseurs.
Il faut savoir qu’au vu du grand nombre d’animaux à placer, des mesures doivent être mises en place le plus tôt possible et avec des gens qui connaissent bien les animaux en question. Ce n’est pas parce qu’il s’agit de deux lions, que tous les deux posséderont les mêmes besoins. Chaque individu est propre à lui-même. Il faut une équipe capable d’acclimater l’animal à son nouvel environnement.