Des demandes pour les animaux non-humains :

Depuis que Free Life a vu le jour, nous ne cessons de nous battre pour les animaux non-humains. Nous avons lancé une pétition pour sauver une éléphante, ayant recueillit plus de 69 000 signatures ; enquêter pendant plusieurs mois sur les conditions de vie de quatre lions avant de lancer des procédures judiciaires inédites ; réussit à négocier avec les gens du cirque pour des placements d’animaux ou encore infiltrer le tourisme animalier en Asie. Afin de parvenir au résultat désiré, tout les moyens sont bons, même les plus glissants. Des projets sont en cours, et des réussites également ! Nous n’abandonnerons pas. Animaux du tourisme, de cirque, de divertissement ou de laboratoire, pour pouvoir leur offrir une nouvelle vie, nous avons dû nous former un réseau de sanctuaires ou refuges partenaires. Pour les lions, tigres, éléphants, dauphins ou encore les reptiles, nous avons désormais les solutions. 

Nous nous assurons que les animaux sauvages que nous déplaçons dans des sanctuaires et rescue centers puissent bénéficier de soins à vie et pourront s’épanouir dans des environnements spacieux correspondant à leurs besoins. Voici une liste, non exhaustive, des centres de soins avec lesquels nous avons collaborés. 

STICHTING LEEUW (Pays-Bas) :

Stichting Leeuw est un lieu de paix pour les grands fauves retraités des cirques notamment. Y ont séjournés Simba, Kiara, Azul et Chimène. 

REFUGE DE L’ARCHE (France) :

Le refuge de l’arche est un havre de paix pour les animaux exotiques en France. La lionne Lina y séjourne actuellement.

SOMBOON LEGACY (Thaïlande) :

La Somboon Legacy Foundation est un sanctuaire pour éléphant d’Asie. L’éléphante Kham-Phaeng y séjourne actuellement.

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Savoir si un animal captif est éligible à pouvoir insérer un sanctuaire ?

Les demandes étant nombreuses et les places assez compliquées à obtenir, un protocole est régulièrement utilisé afin de savoir si l’animal pourra être accueillit dans un sanctuaire. 

Si, lors des différentes étapes, la réponse est « non » alors il sera peu probable que l’animal puisse bénéficier d’une retraite en refuge. Nous mettons toutefois tous les moyens possible pour qu’un maximum d’individus puissent avoir la chance de connaître une nouvelle vie dans les sanctuaires et refuges du monde entier. 

1. Les conditions de vie de l’animal peuvent-elles être améliorées si prise en charge ? 

2. Le propriétaire est-il prêt à renoncer à l’animal ? Si oui, dans quelle condition (don, rachat) ? Accepte-t-il de ne pas reprendre d’animaux ? 

3. Si la réponse est non, une plainte est-elle envisageable afin de demander la confiscation ? Si celle-ci aboutie, les autorités sont-ils en moyen de procéder à une saisie officielle ? 

4. Une maison temporaire, style Tonga Terre d’Accueil ou Natuurhulpcentrum, est-elle disponible le temps de la procédure judiciaire ? Notons que certaines plaintes peuvent mettre des années avant un procès et une décision. Les fonds sont-ils suffisants ?

5. Si un départ vers un sanctuaire est envisagé, a-t-on besoin de récolter des fonds pour la construction du terrain ? Est-ce qu’une campagne pourrait aider ? Le sanctuaire a-t-il déjà tout à disposition ? Et sur quelle capacité ?

6. L’animal a-t-il obtenu l’accord d’un vétérinaire expert en faune sauvage pour voyage ? Si non, peut-il être traité pour ? Les papiers CITES, le passeport, le carnet de santé et les vaccins sont-ils à jour ? L’animal est-il apte à supporter un long voyage ? Pendant combien d’heures et sous quelle conditions ?

7. En cas de départ à l’étranger, notamment en Afrique du Sud, les autorités du pays de destination ont-elles acceptée l’exportation ? Est-ce réalisable sur le plan logistique et bien-être ?

8. Combien coûterait le transport ? Des fonds sont-ils disponibles en cas de besoin, y compris pour la nourriture et les soins à vie ? Si oui, pour combien de temps ? Peut-on les financer grâce aux parrainages ? Une société, association, fondation ou autre peut-elle prendre les frais de l’animal en charge ?

Parrainer les animaux, c'est possible :

Stichting Leeuw est un lieu de paix pour les grands fauves retraités des cirques notamment. Y ont séjournés Simba, Kiara, Azul et Chimène.