Mouvement Free Life :

L'histoire de Free Life :

Fondée en 2018 sous le nom de Chapter Animals, l’association deviendra Free Life dès 2020. Pendant la période liée à la pandémie mondiale du Covid_19, et puisque que, par la même occasion, les activités de l’association se sont retrouvées ralenties, il était temps de prendre un nouveau tournant.

De ses premières années jusqu’à aujourd’hui, les actions de l’association n’ont jamais cessées. Forcé de constater qu’avec cet acharnement, Free Life a su développer des partenariats avec des refuges, des sanctuaires, des associations, des fondations, des experts, vétérinaires et des éthologues dans le monde entier – allant de la France en Italie, aux Pays-Bas, en Belgique, en Ukraine, en Afrique du Sud, au Japon, au Mexique, en Thaïlande ou encore aux Etats-Unis. 

« Chapter Animals » est née, parce que nous souhaitions que la maltraitance ne soit qu’un chapitre. Désormais, pour certains, elle a évoluée en « Free Life », littéralement « vie libre ». Libres ? Ils ne le seront probablement jamais, mais certains n’ont plus à subir ce qu’ils subissaient. Certains vivent désormais dans des sanctuaires, grâce à nos actions en justice, notre mobilisation ou simplement grâce à nos échanges avec les propriétaires d’animaux sauvages. De nos premières luttes pour sauver les animaux des cirques français jusqu’à aujourd’hui, le nombre d’animaux que Free Life sauve grâce à nos actions directes ou indirectes ne cesse de grandir : Simba, Kiara, Azul, Chimène, Kham-Phaeng, Lina, Naveen, Faith, Na-Ja, Palm, A-Ngun, Dao-rueng, Coco ou encore Popeye. 

Notre logo est passé de l’orang-outan – animal endémique subissant les dégâts de la déforestation et de l’huile de palme – à l’éléphant, cet être si intelligent et pourtant exploité par l’homme que ce soit pour le tourisme animalier ou les cirques avant de devenir un lion. Un hommage, à ces nombreux grands fauves, que nous avons pu aider ! 

Nos différents combats...

Free Life c’est cinq grands objectifs : 

  1. L’association dénoncera la maltraitance animale sous toutes ces formes, pour les individus nés en captivité mais également ceux libres afin de défendre le respect de leurs besoins, leur dignité, reconnaître leur statut juridique, et dénoncera les conséquences que cela engendre pour la planète, sanitairement parlant et pour les Hommes.
  2. Protéger l’environnement et le vivant, notamment la nature, la faune et la flore, les océans et les différents écosystèmes qui permettent aux hommes mais également aux animaux de vivre sur notre belle planète. 
  3. Défendre les animaux captifs des mauvaises conditions de détention qu’ils subissent à travers le monde, des mises à morts injustifiées, de la privation de liberté, de la capture à l’état sauvage, des actes de sévices et maltraitances commis par des professionnels, de la détention illégale d’espèces protégées et plus généralement de porter leur voix quand nécessaire. 
  4. Défendre les espèces sauvages en leur demandant des droits juridiques, des tueries inutiles, du braconnage des espèces protégées ou non, de la capture à l’état sauvage pour l’industrie du divertissement, du tourisme, de l’expérimentation ou de la captivité en général. 
  5. Valoriser une alimentation qui ne consistera pas à utiliser de la viande de brousse en défendant les consommateurs dans des choix éthiques. Crocodiles, autruches, zèbres, serpents et autres gazelles n’ont rien à faire dans les rayons de nos supermarchés.

Qui n'en forment qu'un seul :

Pour Free Life, les différentes causes sont liées. Il n’y a pas de combat pour planétaire sans défendre la cause animale et humanitaire. Les violences sont souvent liées les unes aux autres. Par exemple, en Indonésie, pour le combat de la déforestation dû à la demande d’huile de palme se cache les trois causes. Planétaire, car de nombreuses forêts sont détruites et ça en devient une catastrophe écologique. Animale, car de nombreuses espèces emblématiques du continent risque de disparaître si rien est fait. Mais également humanitaire, car ces hommes qui travaillent sur place, ce ne sont pas eux qui ont décidé de raser la planète. Ce sont peut-être la seule source de revenus pour ces pères de famille. Nous devons donc trouver des alternatives plus écologiques, mais qui à la fois pourra sauver des vies animales et continuer à faire travailler la population locale. 

Sans frontières, pour réaliser chacune de nos actions, Free Life a su s’entourer des meilleurs. Car pour nos actions, il n’y a pas de frontières. Elles ne s’arrêtent pas en France. Que ce soit pour défendre la planète, mais également pour défendre les animaux. Nous enquêtons, pour dénoncer les faits et cela grâce à vos témoignages ou vos premières images. Puis nous contactons des experts indépendants pour avoir leur avis sur la situation. Est-elle bonne pour l’animal ? Faut-il agir rapidement ? Nous contactons ensuite les autorités locales et déposons plainte en se basant sur les différentes expertises reçues. Enfin, nous alertons les médias, les élus, les politiques afin que ces situations n’arrivent plus et demandons des sanctions exemplaires ainsi que des saisies des animaux.

De plus en plus souvent, ces actions fonctionnent. Pour les lions du cirque Idéal, cela a commencé par un simple signalement d’un lanceur d’alerte. Une enquête de plusieurs mois, dans différentes communes et dans deux départements à été effectuée. Pour établir notre plainte, des avis d’experts internationaux ont été sollicités, puis la plainte a été envoyée au procureur. Pendant ce même temps, ce dernier, mais également les différentes mairies, les DDPP, les agents de l’OFB et jusqu’au cabinet du Ministère de l’Ecologie ont été mis au courant de la situation. Une saisie devait avoir lieu, avant que le cirque ne décide de placer ses animaux de lui même. 

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