animaux du tourisme
Sauvetages au sein de l'exploitation touristique :
Free Life est fière d’avoir pu sauver et aider certains animaux issus de l’exploitation touristique. Notre première histoire, que nous pouvons vous conter, est celle de l’éléphante Kham-Phaeng que nous avons pu sortir d’un camp. Plus de 5 000 euros ont été débloqué pour sauver cet être si intelligent des chaînes avec nos partenaires locaux.
COCO (Thaïlande) :

Coco fait partie des cinq tigres et léopards dont Free Life a financé le transport vers un sanctuaire. Plus d’informations prochainement.
DAO-RUENG (Thaïlande)

Dao fait partie des cinq tigres et léopards dont Free Life a financé le transport vers un sanctuaire. Plus d’informations prochainement.
NA-JA (Thaïlande) :

Na-Ja fait partie des cinq tigres et léopards dont Free Life a financé le transport vers un sanctuaire. Plus d’informations prochainement.
PALM (Thaïlande) :

Palm fait partie des cinq tigres et léopards dont Free Life a financé le transport vers un sanctuaire. Plus d’informations prochainement.
A-NGUN (Thaïlande) :

A-Ngun fait partie des cinq tigres et léopards dont Free Life a financé le transport vers un sanctuaire. Plus d’informations prochainement.
KHAM-PHAENG (Thaïlande) :

En décembre 2023, Free Life débloque plus de 5000 euros pour aider nos partenaires thaïlandais à sauver une éléphante ! Prisonnière, affaiblie, au bord du gouffre, notre action ne sera pas vaine : Kham sera la première que nous sauverons du tourisme animalier. Et nous ne comptons pas nous arrêter là !
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Savoir si un animal captif est éligible à pouvoir insérer un sanctuaire ?
Free Life reçoit énormément de demandes pour aider les animaux captifs. Malheureusement, les places en sanctuaires sont rares et difficiles à obtenir. Et bien que nous faisons de notre mieux, il n’est pas toujours possible d’y transférer un animal.
Si, lors des différentes étapes, la réponse est « non » alors il ne sera peut-être pas possible que l’animal puisse bénéficier d’une retraite dans un refuge ou un sanctuaire. Nous mettons toutefois tous les moyens possible pour qu’un maximum d’individus puissent avoir la chance de connaître une nouvelle vie en dehors de leur lieu de vie actuel.
1. Les conditions de vie de l’animal peuvent-elles être améliorées si prise en charge ?
2. Le propriétaire est-il prêt à renoncer à l’animal ? Si oui, dans quelle condition (don, rachat) ? Accepte-t-il de ne pas reprendre d’animaux ?
3. Si la réponse est non, une plainte est-elle envisageable afin de demander la confiscation ? Si celle-ci aboutie, les autorités sont-ils en moyen de procéder à une saisie officielle ?
4. Une maison temporaire, par exemple Tonga Terre d’Accueil ou Natuurhulpcentrum, est-elle disponible le temps de la procédure judiciaire ? Notons que certaines plaintes peuvent mettre des années avant un procès et une décision. Les fonds sont-ils suffisants ?
5. Si un départ vers un sanctuaire est envisagé, a-t-on besoin de récolter des fonds pour la construction du terrain ? Est-ce qu’une campagne pourrait aider ? Le sanctuaire a-t-il déjà tout à disposition ? Et sur quelle capacité ?
6. L’animal a-t-il obtenu l’accord d’un vétérinaire expert en faune sauvage pour voyage ? Si non, peut-il être traité pour ? Les papiers CITES, le passeport, le carnet de santé et les vaccins sont-ils à jour ? L’animal est-il apte à supporter un long voyage ? Pendant combien d’heures et sous quelle conditions ?
7. En cas de départ à l’étranger, notamment en Afrique du Sud, les autorités du pays de destination ont-elles acceptée l’exportation ? Est-ce réalisable sur le plan logistique et bien-être ?
8. Combien coûterait le transport ? Des fonds sont-ils disponibles en cas de besoin, y compris pour la nourriture et les soins à vie ? Si oui, pour combien de temps ? Peut-on les financer grâce aux parrainages ? Une société, association, fondation ou autre peut-elle prendre les frais de l’animal en charge ?